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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 15:26
Après avoir été reconduite plusieurs fois, la réforme sur l’extension du travail le dimanche a finalement été adoptée et transposée par la loi n°2009-974 du 10 août 2009.

Désormais, dans les zones et communes touristiques ou thermales, les établissements de vente au détail non alimentaire peuvent recourir au travail le dimanche sans autorisation préalable. Il revient au préfet de définir la liste des communes touristiques ou thermales et le périmètre des zones touristiques concernées. La loi n’a pas prévu de majoration de salaire pour les salariés travaillant le dimanche, il convient donc de se reporter aux conventions collectives.
Désormais, dans les commerces de détail alimentaire, les employeurs pourront demander aux salariés de travailler le dimanche jusqu’à 13 heures.

En dehors de zones et communes touristiques et thermales, les établissements de vente au détail non alimentaire situés dans les zones urbaines de plus d’un million d’habitants pourront recourir au travail le dimanche. Cela concernerait les zones de Paris, Lille et Aix-Marseille. Ce cas de recours qui n’existait pas auparavant, a été créé par la loi du 10 août afin de prendre en compte les nouvelles habitudes de consommation des grandes agglomérations.

Ces établissements devront ainsi se trouver dans un périmètre d’usage de consommation exceptionnel (PUCE), caractérisé par : une consommation habituelle le dimanche, un afflux de clientèle important et la provenance éloignée de la clientèle. Le recours au travail le dimanche est dans ce cas soumis à autorisation administrative, et cette autorisation n’est valable que pour 5 ans. De plus, l’autorisation ne sera donnée que si des contreparties accordées aux salariés travaillant le dimanche et des engagements en terme d’emploi sont prévus : par accord collectif, ou par décision unilatérale de l’employeur approuvée par référendum des salariés. Dans ce dernier cas, les salariés doivent bénéficier d’une rémunération égale au double de celle normalement perçue et d’un repos compensateur.

Enfin, le travail le dimanche ne pourra se faire que sur la base du volontariat. La circulaire DGT du 31 août 2009 précise les modalités d’application de la loi du 10 août 2009. La DGT précise que les jugements rendus et les sanctions prononcées pour des ouvertures illégales constatées avant la promulgation de la loi ne sont pas remis en question.
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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 15:19
Les organisations syndicales se prononceront dans les prochaines semaines sur leur éventuelle signature de l’accord relatif à la réforme de la médecine du travail. Plusieurs dispositions du protocole d’accord concernent l’inaptitude au poste de travail et les visites médicales.

  • Inaptitude. L’accord définit l’inaptitude comme « l’existence de contre-indication physique ou psychique entraînant une restriction pour le salarié de remplir une ou plusieurs tâches liées à son poste de travail ».
  • Visite de prévention de la désinsertion professionnelle. Le texte institue une commission collégiale réunissant le médecin du travail, le médecin conseil de l’assurance maladie et, le cas échéant, le médecin traitant. Cette commission proposera au salarié en arrêt maladie (sauf arrêt de courte durée) une visite de préreprise, appelée « visite de prévention de la désinsertion professionnelle », dont l’objectif est de proposer à l’employeur, avant la reprise du travail du salarié, une démarche de maintien dans l’emploi. Si, lors de la visite de reprise, le médecin du travail déclare le salarié inapte et que le reclassement est impossible, l’employeur pourra procéder au licenciement dans un délai de 21 jours suivant la déclaration d’inaptitude. L’accord prévoit que, pendant cette période, le salarié sera indemnisé par l’assurance maladie. Si, à l’issue des 21 jours, le salarié n’est pas licencié, l’employeur devra lui verser le salaire correspondant à l’emploi qu’il occupait avant la suspension de son contrat de travail.
  • Visites périodiques. La périodicité des visites médicales sera fixée réglementairement, sans pouvoir excéder trois ans (contre deux ans actuellement) pour les salariés qui ne sont pas exposés à des risques spécifiques. Ces derniers bénéficieront, dans l’intervalle, d’un ou plusieurs « entretiens médico-professionnels » assurés par un infirmier en santé au travail, sous délégation du médecin du travail. Pour les salariés exposés à des postes nécessitant une surveillance particulière, le texte précise que la périodicité doit continuer à être fixée par la réglementation, mais ciblée sur les risques les plus importants.

L’accord prévoit la mise en place, au sein des services de santé au travail (SST) interentreprises, d’une commission médico-technique dédiée aux échanges entre les médecins du travail, les intervenants pluridisciplinaires, les infirmiers du travail et le directeur du service. Il s’agira d’un organe de propositions d’actions collectives de prévention des risques professionnels.
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2 octobre 2009 5 02 /10 /octobre /2009 15:14
Un comportement vigilant est attendu des employeurs  lorsqu’ils remplissent les attestations de salaire, l’Assurance maladie peut les  sanctionner financièrement en cas d’erreur. Ils ne doivent pas porter d’indications erronées sur les attestations de salaire ayant pour conséquence la majoration du montant des indemnités journalières versées au salarié par l’Assurance Maladie. En effet, ils seront reconnus responsables si un salarié touche des indemnités auxquelles il n’avait pas droit.

De même, ils peuvent faire l’objet de sanctions financières s’ils n’ont pas procédé à la déclaration d’un accident du travail ou s’ils n’ont pas remis la feuille d’accident lors d’un accident du travail. La pénalité est fixée, en fonction de la gravité des faits reprochés et s’ils ne relèvent pas d’une fraude, à un montant maximum égal à 50% des sommes indûment prises en charge par l’Assurance Maladie (suite à des indications erronées)  et/ou une fois le plafond mensuel de la Sécurité Sociale (2859 euros en 2009) en cas d’absence de déclaration d’accident ou de non-remise de la feuille d’accident de travail.

Ces montants sont doublés en cas de récidive au cours des 3 années précédentes (5ans en cas de fraude).
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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 14:44
La pandémie grippale semble inéluctable et beaucoup d’entreprises vont voir leur organisation fortement perturbée par un taux d’absentéisme élevé et par des ruptures d’activité liées à cette situation.  La circulaire DGT 2009/16 du 3 juillet 2009 recommande aux employeurs, dès la situation 3A, et à plus forte raison dès  aujourd’hui en situation 5A, d’anticiper la survenue d’une pandémie grippale en élaborant un « plan de continuité d’activité (PCA)  actualisant le document unique d’évaluation des risques ainsi que le programme annuel de prévention des risques professionnels et d’amélioration des conditions de travail.

L’élaboration du PCA est préconisée à toutes les entreprises, y compris les petites, moyennes et très petites entreprises (PME/TPE). Les employeurs qui ne suivront pas cette recommandation vont s’exposer à de sérieuses difficultés économiques mais aussi juridiques. Ainsi à titre d’exemple, les employeurs qui n’auront pas mis à jour le document unique d’évaluation des risques s’exposeront à des sanctions d’ordre pénal (amende prévue pour contravention de 5ème classe) et civil (action du salarié pour faute inexcusable de l’employeur suite à sa contamination au virus).

Rappelons que les employeurs sont tenus de prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des salariés. Ces mesures comprennent : des actions de prévention des risques professionnels, des actions d’information et de formation et la mise en place d’une organisation et de moyens adaptés. A partir des recommandations et des dispositions de la circulaire DGT du 18 décembre 2007 ainsi que la fiche G1 annexée au plan national de prévention et de lutte contre une pandémie grippale, le PCA  peut notamment envisager :

  • des mesures d’organisation de l’activité : désigner une personne responsable pour coordonner la préparation de l’entreprise à la pandémie et à la mise en œuvre du PCA, identifier les postes clés et ceux dont la mise en veille pendant quelques semaines ne remettrait pas en cause la continuité de l’activité… ;
  • des mesures d’organisation du travail : déterminer les différentes dispositions d’aménagement du temps de travail susceptibles d’être utilisées en fonction du niveau d’activité de l’entreprise, déterminer les activités et postes de travail pouvant être exercés à distance… ;
  • des mesures de prévention : actualiser le document unique d’évaluation des risques pour intégrer, selon le cas, le risque lié à la pandémie grippale et/ou les nouveaux risques générés par le fonctionnement dégradé de l’entreprise en raison de la crise sanitaire, déterminer, en faisant appel aux conseils du médecin du travail et en lien avec les représentants du personnel, les équipements de protection individuelle nécessaires et se les procurer… ;
  • des mesures de communication et de consultation du personnel et de ses représentants : consulter CE, délégués du personnel, CHSCT sur le contenu du PCA et sur le document unique, communiquer régulièrement avec le personnel sur les mesures d’organisation et de prévention…

Enfin, pour s’assurer de la validation des mesures, il convient de réaliser des exercices pour  vérifier que les mesures sont réalistes et bien comprises. Un kit d’informations a été rédigé par le Ministère de l’Economie à destination des dirigeants de TPE-PME, des artisans, des commerçants et des professions libérales, car l'ensemble des acteurs économiques doivent se préparer au risque d'une pandémie.

Ce document leur rappelle qu'ils doivent préparer leur entreprise à une éventuelle pandémie d'une durée de 3 semaines, durée prévisible du pic de propagation du virus. Il contient des conseils pratiques pour éviter la diffusion du virus au sein de l'entreprise ainsi qu'un guide d'accompagnement pour la mise en place d'un plan de continuité de l'activité économique dans une situation de pandémie grippale.

Un rappel des "gestes barrière" à adopter pour éviter la contagion figure également dans le Kit, sous forme d'écriteau imprimable, ainsi que des supports de communication directement utilisables au sein de l'entreprise (ex : mesures d'hygiène, comment se laver les mains).

Il évoque également le recours au travail à distance des salariés, en précisant qu'il s'agit d'une modalité particulière d'organisation du travail, qui s'avère efficace pour permettre la continuité de l'activité en période de pandémie : car elle évite les déplacements et les contacts, ce qui réduit d'autant les risques de contamination.
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20 août 2009 4 20 /08 /août /2009 22:29

Après la célèbre déclaration d’impôts et la déclaration en ligne de la TVA pour les entreprises (télé-tva), voilà qu’arrive le bulletin de paie électronique.

Au lieu d’adresser le bulletin au salarié, par courrier ou en main propre, il sera désormais possible pour les services de ressources humaines d’envoyer ces documents par mail, avec l’accord préalable du salarié. La possibilité sera offerte aux entreprises si elles sont toujours en mesure de respecter la règle obligeant les sociétés à conserver ces documents pendant au moins 5 ans dans leur base de données. L

es entreprises souhaitant utiliser ce nouveau mode d’envoi seront alors contraintes de protéger les données stockées en élaborant des systèmes de protection. La question de la signature électronique est également évoquée et il sera nécessaire pour les entreprises d’élaborer des systèmes permettant l’authentification des mails.

Le CTP remplace la convention de reclassement personnalisé à titre expérimental dans certains bassins d’emploi caractérisés par un contexte défavorable pour l’emploi. Il ne concerne que les salariés, cadres et non-cadres, engagés dans une procédure de licenciement économique avant le 1er Décembre 2009, dans des entreprises de mois de mille salariés.

Aucune condition d’ancienneté ou de droit aux allocations chômage n’est exigée. La  proposition de CTP est faite par l’employeur durant l’entretien préalable de licenciement, assortie d’une notice d’information et d’un modèle de contrat.  Le salarié dispose de vingt et un jours de réflexion (l’absence de réponse vaut refus). S’il accepte, le contrat dure douze mois, durant lesquels il perçoit 80% de son dernier salaire. La liste des communes concernées vient d’être modifiée pour onze de ces bassins d’emploi suite aux arrêtés du 29  Mai 2009Mai 2009 et du 4 Juin 2009.

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17 août 2009 1 17 /08 /août /2009 22:32

L’absence de mention de la rémunération et de ses composantes n’entraîne pas la requalification du CDD en CDI (Cass.soc, 20.5.2009 , N°1100, Nebout c/ Adrexo).

L’entreprise qui souscrit une assurance de groupe a, envers le salarié adhérent, un devoir d’information et de conseil qui ne se limite pas à la remise d’une notice (Cass.soc, 20/05/2009, n°985, SNCM c/ Cagimanoli).

Il n’y a pas d’entrave à la liberté du travail ou de circulation si les piquets de grève ne bloquent pas l’ensemble des accès à un site (Cass.soc, 13/05/2009, n°981, SNCF c/ Lasson et a.)

L’AGS ne garantit pas les dommages et intérêts dus à des salariés licenciés en violation d’une garantie de maintien de l’emploi (Cass.soc, 12/05/2009, n°918, Biraud et a. c/ Elleouet et a.).

Le titre emploi service entreprise (TESE) permet d’alléger un bon nombre de démarches administratives  dans les entreprises de moins de 10 salariés ou en cas d’embauche occasionnelle. Bien que disponibles depuis le 19 Mai dernier, les formulaires d’adhésion viennent seulement d’être publiés.

Au 1 Juillet, la hausse du smic a été de 1.3%  et passe à 8.82 euros brut de l’heure soit 1 337.70 euros brut mensuels pour 35 heures hebdomadaires. Ce chiffre sera confirmé par la publication d’un arrêté ministériel.

L’entrée en vigueur de l’élargissement du champ du rescrit social est effective depuis le 1 Juillet 2009. La demande du cotisant ou du futur cotisant peut être adressée par lettre recommandée avec demande d’avis de réception aux Urssaf, Sécurité Sociale, Caisse des Indépendants, Organisation autonome d’assurance vieillesse des professions libérales, Caisse nationale des barreaux, auprès desquels le cotisant est tenu de souscrire ses déclarations ou de s’affilier. Elle peut également être remise en main propre contre décharge. utilelecteurs. Pour ajouter du contenu

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10 août 2009 1 10 /08 /août /2009 22:28

Les partenaires sociaux européens ont signé le 18 Juin dernier l’accord cadre révisé sur le congé parental destiné à permettre aux parents de s’occuper d’un enfant pendant une période déterminée par chaque Etat membre et jusqu’à l’âge de huit ans maximum.

La durée du congé parental est augmentée par le nouvel accord : 4 mois par parent (contre trois auparavant), l’un de ces quatre mois étant non-transférable d’un parent à l’autre (afin d’encourager les pères à prendre un congé).

La protection des travailleurs contre le licenciement ou contre « tout traitement défavorable » en raison de l’exercice du droit au congé parental est renforcée. L’accord s’applique à tous les travailleurs, quelque soit la forme de leur contrat ; le droit au congé peut toujours être subordonné à une période de travail et/ou d’ancienneté qui ne peut dépasser un an mais, l’employeur doit prendre en compte la durée des contrats à durée déterminée successifs conclus avec le salarié.

Le droit pour le salarié de retrouver son poste de travail ou, à défaut, un travail équivalent ou similaire conforme à son contrat ou à sa relation de travail est maintenu. En outre, les parents reprenant le travail à l’issue du congé parental peuvent désormais demander l’adaptation de leurs conditions de travail.

En revanche, la question de la rémunération, non abordée dans l’accord, est renvoyée aux Etats membres et aux partenaires sociaux nationaux. Cet accord doit être mis en œuvre par une directive du Conseil en principe avant la fin de l’été.

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4 août 2009 2 04 /08 /août /2009 22:27

Sauf à verser une contribution à l’Agefiph, les employeurs occupant au moins 20 salariés sont en principe tenus d’embaucher des travailleurs handicapés à hauteur de 6% de leur effectif  total et de justifier de leur situation avant le 15 Février de l’année suivante, en adressant une déclaration à la DDTEFP (C. trav. art. L.5212-3).

A partir de l’année 2009 (déclaration à souscrire avant le 15 Février 2010), la condition de présence minimale de six mois est supprimée et la prise en compte de tous les travailleurs handicapés doit être pondérée en fonction de la durée de présence effective au cours de l’exercice (C. trav. art. L5212-14).

Les employeurs pourront s’acquitter partiellement de leur obligation d’emploi en accueillant en stage (au-delà des stages de formation professionnelle admis jusqu’à présent) des personnes handicapées, dans la limite de 2% de l’effectif  total des salariés de l’entreprise. La durée du stage doit être au moins égale à 40 heures (et non plus à 150 heures) et le stage doit faire l’objet d’une convention tripartite signée par l’entreprise, l’organisme de formation ou d’insertion et le stagiaire (C. trav. Art. R  5212-11).

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31 juillet 2009 5 31 /07 /juillet /2009 22:30

Vous avez droit à une prime si vous embauchez en CDI un stagiaire ou un ex-stagiaire avant fin septembre.

Pour l’obtenir, vous devez adresser un dossier complet à l’Agence de service et de paiement (ASP). L’embauche d’un stagiaire en CDI ouvre droit à une prime de 3000 euros sous respect des cinq conditions suivantes :

    - Le recrutement doit intervenir entre le 24 Avril et le 30 Septembre 2009

    - Le stagiaire embauché a moins de 26 ans à la date de signature du CDI

    - Son stage a débuté entre le 1er Mai et le 24 Avril 2009

   - Le stagiaire a passé au moins huit semaines en durée cumulée dans l’entreprise et le contrat de travail porte sur une durée au moins égale à un mi-temps.

C’est à l’employeur de demander le versement de cette prime et le dépôt de sa demande se fait en deux étapes. Pour le versement de la première moitié de la prime, il doit adresser sa demande à l’ASP dans les quatre mois suivant la conclusion du contrat de travail.

La seconde moitié de la prime est versée dès lors que le contrat de travail du jeune a été maintenu pendant au moins six mois et à condition d’en faire la demande puisque ce versement n’est pas automatique. Au surplus, la demande doit parvenir à l’ASP dans les quatre mois qui suivent la date marquant les six mois de maintien du contrat de travail. A cette fin, l’ASP peut demander la transmission de l’ensemble des bulletins de salaire du jeune pour vérification.

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28 juillet 2009 2 28 /07 /juillet /2009 22:26

Depuis le 1 Juillet 2009, les salariés qui perdront leur emploi pourront conserver leur ancienne mutuelle.

Un avenant à l’Accord National Interprofessionnel (ANI) du 11 Janvier 2008, sur la modernisation du temps de travail, prévoit le bénéfice des couvertures complémentaires  santé et prévoyance au profit des anciens  salariés au chômage, pour une durée égale à celle de leur dernier contrat de travail, dans la limite de neuf mois. Et ce, dès la date de cessation du contrat de travail.

Le financement du maintien des garanties sera assuré conjointement par l’ancien employeur et l’ex-salarié. Un système de mutualisation pourra être envisagé par les entreprises.

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